mardi 25 mai 2010

Des chiffres

Résumé du weekend en images et en chiffres.


Deux chaises longues, un petit mari et deux livres d'avalés.



Une chouette balade.




Un chat affamé.



Deux moineaux sauvés hier (et un ce matin !).


Cinq tissus d'acquis et beaucoup d'idées.


Une réalisation et beaucoup de fierté (et en principe, le premier élément de ma tenue pour septembre...). Et après ça, un rideau, six bavoirs et une jupe à terminer.


Un sacré pied, ce weekend.


J'veux pas retourner bosser demain...



Ah ! Et j'allais oublier le plus important quand même : trois mois aujourd'hui...


dimanche 16 mai 2010

Joli mois de May

Petite sortie du samedi alors que le temps était enfin clément : direction le May médiéval.



Il s'agit d'une célébration festive et colorée du mois de may : nombre d'artisans s'installent dans la cour du château de Blandy-les-Tours et font revivre le Moyen-Âge.



Apprenez donc que plutôt que des plantes teintantes, on utilisait des plantes tinctoriales.



Venait ensuite la tenue de l'époque, légère et seyante. 




Petite vue plongeante sur la cour intérieure du château.



Et là, le déjeuner en cours de cuisson...



Avec ici le dessert - crèpes au feu de bois - et la boisson pour arroser le tout (la pisse  d'âne étant le petit nom du cidre).




Un petit cour de broderie par appliqué...





... et ensuite de réalisation de vitraux. 



Et le résultat est impressionnant.



Une balade bien agréable donc malgré le vent frais.


 

samedi 15 mai 2010

La couture d'avril

En avril, paraît-il, il ne faut pas se découvrir d'un fil. C'est donc forte de cette maxime que je me suis lancée dans la confection d'une petite couverture pour un nouveau venu dans la famille, un petit bout de bientôt deux mois maintenant.


Un petit boulot tout simple comportant un côté en coton imprimé (venant du marché Saint Pierre) et l'autre en polaire.




En espérant que cela plait au petit bout auquel elle était destinée, même si j'ai bien conscience que la polaire là où il fait chaud et humide, ce n'était peut être pas la meilleure idée que j'ai eue... Pour se rattraper, on a joint un doudou tout doux et bien rigolo.


 Mais tout cela cache le vrai projet prévu depuis des mois (depuis l'annonce de la naissance, en fait), débuté rapidement et foiré tout aussi rapidement et en beauté... Ma première idée pour le petit bout était cette turbulette que j'ai tout de même fini mais que je n'ai pas osé envoyer. Trop honte des mauvaises finitions. Parce que j'ai bien essayé de rattraper...


 Et ce qui ne va pas, c'est le biais. Je l'ai piqué une première fois, tout le tour et le résultat n'était pas top, top. Un peu serré et parfois boudinné. Un petit tour de décou-vite et de rebâti du biais aux endroits fatidiques (merci aux mains patientes qui ont agi à ma place), et j'ai repiqué. Heu, oui, sauf que c'était pire. Pas assez serré et piqué dans le vide une fois sur deux. Enfer et damnation... J'ai eu la flemme de tout redéfaire (ce que j'aurais dû faire dès le début ou alors pas du tout).


Par contre, au plan des détails, je suis fière de certaines de mes idées. Ici, en dessous, une patte de boutonnage.


Dommage, ça aurait pu être joli. Bon bah ça reste de la polaire pour un pays chaud alors ça n'était pas très adapté non plus (on se rassure comme on peut...).


Le tissu vient également du marché Saint Pierre et le biais de la boutique Le comptoir

Merci à Kallou pour le tutoriel de la turbulette.

vendredi 14 mai 2010

IL m'a entendu !

Car il existe encore des Martin Page que je n'ai pas lus !


Bientôt dans ma boîte à lettres : La disparition de Paris et sa renaissance en Afrique  et Je suis un tremblement de terre (jeunesse).


Et quand je les aurais dénichés : Traité sur les miroirs pour faire apparaître les dragons (jeunesse), Conversation avec un gâteau au chocolat (jeunesse) et L'invention d'un secret (jeunesse).


Et puis si je m'ennuie de lui, je pourrais toujours m'en aller lire ses articles, parus ici et là, et regroupés sur son site Internet ou bien traîné sur son blog.


Je sens que je vais bien travailler, moi, cet après-midi...

mercredi 12 mai 2010

Berceuse

Mi mi sol,

Que tu t’invites, ça me va.

mi mi sol,

Que tu m’envahisses et me parasites, à la limite, je me dis que je peux bien faire ça.

mi sol do si la la,

Sont venus ensuite la fatigue, les petits malaises et les millions de questions liées, quelques angoisses et parfois des nuits fort dérangées. Mais bon passons. Je ne suis pas la première et ne serai pas la dernière. C’est ainsi, je m’y ferai. Parce que c’est toi.

sol ré mi fa ré ré mi fa ré fa si la sol si do…

Mais là ! Là ! Quelques notes de musique seulement et voilà mes yeux qui débordent ! Tout ça pour une berceuse ! Je n’ai pas l’air pomme, moi, maintenant, au milieu du rayon Doudou musical & autres ours au grand cœur ! Les hormones, il paraît…

Je l’aurais, un jour ! Je l’aurais !

Pour l'Impromptu de la semaine sur le thème : quelques notes de musique.

dimanche 9 mai 2010

Des bouts de moi

Un petit billet facile d'inspiration Plumesque. Un presque "tag" auquel j'avais envie de répondre et qui me donne aussi l'occasion de... A voir en fin de billet ;)

***


Date de l’analyse : 9 mai 2010

Vous ?

Êtes là plus qu’avant maintenant que je n’ai plus qu’un seul chez moi et ça me fait très plaisir.

Un petit regret quand même : il me manque un public critique pour mes écrits. Je trouve du temps et je me relance un peu plus dans la bêta-lecture !

Moi ?

Duale, paradoxale, banale, voire normale (sur les bords), animale et intellectuale. Je suis juste une female, quoil…

Lui ?

Roc. Doux. Présent. Souriant. Chiant. Tête de lard par moment. Aimant. Passionné/Passionnant. Au volant. Rassurant. Malin. Macho. Mon mari depuis 6 ans. Ma moitié depuis 15. Et je ne ferais plus sans.

Petit Cœur ?

… bat en moi. Juste au creux. Juste là. Grandit & grandira. Jusqu’à venir à nous, juste au creux de nos bras. Allez encore un peu plus de 6 mois.

Elles ?

Ma sœur et son caractère entreprenant, son énergie et sa mine réjouie.

Mes amis et leurs oreilles, leurs cœurs et leur présence.

Elle ?

Et son sourire, sa douceur, son parfum. Ma manman. :)

Quoi ?

Dormir

Ecrire (quand j’aurai récupéré mes neurones…).

Lire & Bêta-lire (ça j’aime bien).

Du kiri, des olives et de la vache qui rit.

Coudre.

Et plus si affinités. Ah non, j'suis crevée...

Quel gâteau ?

Sans hésiter, un flan pâtissier.

Ou peut être bien, un fraisier.

A moins qu’un éclair au café…

J’sais pas. T’en dis quoi toi ?



Rutabaga ?

Gloubiboulga (bah quoi ?).

A faire ?

Le coussin des alliances de la ch’ptite (à finir, j'précise qu’elle ne croit pas que je n’ai pas commencé).

Du tricot (surtout celui commencé depuis l’été dernier si je veux qu’il soit prêt pour l’hiver prochain).

De la couture (un rideau en cours, un pantalon et une veste en projet, pour commencer).

Commander un livre et du tissu

Les comptes, la déclaration d’impôt, classer les papiers

Réaménager le bureau, finir la chambre du bébé, ranger la cave et le garage

Me projeter sur les 20 prochaines années : Loulou, le chat, bébé et moi

Trouver des prénoms que Loulou pourra critiquer (il est programmé pour disposer…)

Dormir…

Et vous ?

mercredi 5 mai 2010

Ambre

Ambre avait toujours été un mystère pour lui. L’œil constamment ourlé d’un trait de noir profond, elle portait sur le monde qui l’entourait un regard penché, comme un mur près de s’écrouler. Impossible de dire d’elle J’ai croisé son regard, car même fixe, il apparaissait fuyant. Elle était pareille à une image aux contours indéfinissables, flous, noyée dans un brouillard.

Il s’était dit qu’avec le temps, cette impression disparaîtrait. Mais comme un contre-jour toujours s’installait lorsqu’elle était près de lui, sans qu’il ne réussisse à savoir si cela venait de lui ou d’elle. Il n’en parlait pas, de peur d’être le seul à avoir remarqué cet étrange phénomène. Le jour de son entretien d’embauche déjà.

Il se souvenait encore de cet entretien. Celui-ci s’était déroulé dans son bureau actuel alors qu’il venait à peine d’envahir l’espace. Ses tableaux trônaient encore à même le sol, empilés les uns contre les autres, contre un mur, dans un coin, et son immense bureau en acajou, encore vierge du moindre trombone, paraissait, dans tout cela, démesuré. Pour arroser le tout, un soleil chaud, orangé, de fin d’après-midi avait constamment illuminé les multiples baies et jusqu’aux moindres reflets de ses cheveux auburn. Ou peut être chocolat ? Il n’avait jamais réussi à se décider. Ni ce jour-là. Ni depuis.

Si elle était une humeur, elle serait la mélancolie, telle était la pensée qui lui était venue ce matin en la croisant. Pour autant, il n’avait pas l’impression qu’elle ne souriait jamais. Ni qu’elle souriait… Une véritable énigme qui, à la force, l’obnubilait. Qu’est-ce qui l’anime ? Etait-ce une nostalgie ou une perpétuelle rêverie ? De l’ennui ou peut être des soucis ? Pouvait-il l’aider ?

Tout cela devenait ridicule ! Pourquoi elle, pourtant ni plus belle, ni plus celle ? Rien ne la distinguait et pourtant : Elle ! Et lui ! qui avait accepté de vivre depuis un temps certain avec ce que son père nommait sa part d’ombre, maintenant réclamait dans sa chair, et contre toute attente, sa part d’Ambre. Il y avait de quoi rire…

Elle est la vague à l’ombre de mon âme. L’Homme ne sait pas vivre sans une ombre au tableau, connu de lui seul, lui donnant ainsi une raison de se lever le matin ou une douce impression d’être un mauvais garçon quand dans les yeux des autres on ne lit qu’une hypocrite révérence, voire pour les plus gentillets de la pure dévotion. Avoir quelque chose à révéler, à sortir de l’ombre pour les jours sans animation.

Cela ne pouvait cependant pas continuer. Il lui fallait réagir. Escalader le mur et fuir Ambre. Ou mettre sa part d’ombre en pleine lumière. Après d’intenses réflexions et un dernier regard, il décida. Et sauta. Non sans avoir préalablement griffonné quelques mots qu’Ambre la première trouva : A l’ombre de mon âme, à l’aplomb de mon mur, se tapit Ambre, ma Dame, ma part d’ombre pure. Je m’en vais la rejoindre.

Alors Ambre s’assombrit, devint ombre couleur ambre, et finalement sombra, à l’aplomb de son âme.

Pour la part d'ombre à offrir cette semaine aux Impromptus.

mardi 4 mai 2010

Petite psychologie du marque-page

Je vais tenter un article hors du temps. En marge de mes billets habituels et pourtant si proche de mes sujets de prédilection. Juste parce que j'ai envie de vous parler de mes marques-page. Parce qu'après avoir fait le tri des livres et avant de les remiser dans l'armoire des mises en vente, il m'a bien fallu les délester de leur stigmate de lecture : le fameux marque-ma-page-où-qu'jen-suis-que-je-men-souvienne.

Je suis en effet peu portée sur le cornage de page. Par respect du livre lui-même, c'est vrai, mais aussi pour éviter à la force de ne plus savoir quelle corne est la mienne des fois que plusieurs se disputeraient mes yeux.

Vous l'aurez donc compris, je suis de ceux qui glissent une marque entre deux pages. Et là, pas de quartier, tout (voire n'importe quoi) peut en faire office. Il n'y a pas, à mon sens, de vocation à être un bon marque-ta-page. Tout peut servir, surtout dans l'urgence.

Dans mon tri, j'ai donc retrouvé de vrais marques-page, de ceux qu'on trouve dans les librairies, délivrant un message en rapport ou pas avec les livres et ceux ramenés de voyage par des proches qui me connaissent bien ; des cartes postales venues de très loin au soleil glissées au creux des livres d'hiver ; des photos d'un instant (personnes aimées ou paysages) trimbalées pour ne plus y penser ; des cartes de visite (souvent les miennes) qui ainsi serviront enfin à quelque chose ; une lettre de rappel du non paiement de ma toute première taxe foncière dont l'avis de paiement avait été adressé à mon adresse précédente, celle où j'étais locataire ; des forfaits de ski qui m'avaient menés jusqu'à la terrasse blanche et ensoleillée d'une montagne où j'avais visiblement préféré rêver plutôt que lire et même skier ; des places de cinéma de films qu'on aurait préféré oubliés ; des lettres d'amour, d'injures, d'excuses, que sais-je encore, qu'on avait cru egarées.

Tout un petit monde. Tout mon petit monde que j'emmène partout où je vais pour me conforter, me réchauffer et surtout je crois, me rassurer.

Dans mon tri, j'ai aussi retrouvé le bonheur de redécouvir cette lettre, cette photo, cette carte postale, ou de l'imaginer offerte aux générations futures. Ce bout de souvenir, ce bout de soi, coincé entre deux chiffres, deux mots, deux phrases ou deux intrigues. Début d'une idée. Nostalgie involontaire de l'instant qui se voulait plutôt rangement.

Un moment. Le moment marque-page.

Tout un petit monde. Tout mon petit monde d'amis imaginaires en papier.

dimanche 2 mai 2010

Les recettes d'avril

Une bonne idée que celle de vous donner les recettes de mes petits plats (moi qui aime taaaaaaaaaaaaant cuisiner). Par contre, ne me demandez  pas de vous fournir à coup sûr les quantités et le temps. Certaines de mes recettes (beaucoup de celle  que j'improvise) sont dépourvues de quotité... 

Voici donc les recettes d'avril.

Gratin de pommes sautées au comté



Rien de plus simple !

Prenez des pommes de terre (celles que vous préférez) : en général, j'en compte deux petites par personne.

Epluchez-les et faites-les revenir à la poêle (au beurre ou à l'huile d'olive, ça dépend de vos goûts) une vingtaine de minutes .

Une fois qu'elles sont cuites, mettez-les dans un plat à gratin et couvrez-les de lamelles de comté.

Enfournez jusqu'à ce que cela soit bien gratiné.

Servez avec une salade de pousses d'épinard, des croûtons et une sauce au vinaigre balsamique et au miel.

 

Ch'tiramisu



Je suis une inconditionnelle du Tiramisu. J'ai une recette bien à moi dont j'use et j'abuse chaque été.

A côté de cela, je suis abonnée depuis de nombreuses années à Cuisines et Vins de France (CVF). Le seul magazine dont l'abonnement a survécu tout ce temps. D'habitude, il ne me faut pas plus d'une année (de magazines de retard entassés...) !

Tout ça fait que je n'ai pas pu résister à la recette du Ch'Tiramisu proposé par CVF d'avril-mai 2010.

Pour 6 personnes : 15 spéculoos - 350 g de mascarpone - 3 oeufs - 15 cl de café expresso serrée - 2 cs d'extrait de café - 80 g de sucre glace - 2 cs de cacao amer - 2 cs de rhum

Sortez le mascarpone du réfrigérateur pour qu'il soit plus facile à fouetter. Dans une assiette creuse, mélangez le café, l'extrait de café (si vous en mettez) et la moitié du sucre glace (donc 40 g).

Cassez les oeufs en séparant les blancs des jaunes. Montez les blancs en neige bien ferme. Fouettez les jaunes avec le mascarpone, le reste de sucre glace (donc 40g) et le rhum. Incorporez ensuite délicatement, en soulevant le mélange, les blancs en neige à cette préparation.

Trempez rapidement les biscuits dans le café (du genre sans trainer plus de 2 secondes sinon les gâteaux se délitent) puis tassez-en 1 biscuit et demi dans chacun des 6 contenants que vous aurez choisis. Recouvrez de la moitié de la préparation, émiettez dessus un autre spéculoos trempé  dans le café et couvrez du reste de la préparation. Réservez au frais pendant 6h.

Au moment de servir, saupoudrez les pots de cacao. Servez bien frais.

Ce que j'en pense : je remplace le rhum par de la liqueur d'amande et le cacao par du nesquick (c), nesquick que je saupoudre avant les 6h et non après. J'utilise des pots à confiture pour contenant, très pratique car refermables. Enfin, à mon avis, 350 g de mascarpone c'est un peu trop : je les ai trouvés un peu liquide.

Clafoutis aux cerises



J'ai trouvé ma recette sur Marmiton.org.

Pour 6 à 8 personnes : 700 g de cerises bien mûres - 4 oeufs - 5 cs de farine (100 g) - 5 cs de sucre roux (100 g) - 1/4 de litre de lait (25 cl) - 60 g de beurre - 1 pincée de sel - 1 cc d'extrait de vanille - 2 sachets de sucre vanillé

Lavez et équeutez les cerises (ou sortez-les du congélateur qu'elles aient le temps de décongeler). Allumez votre four à thermostat 6/7 (180/200°C). 

Dans un plat à tarte, mettez le beurre puis enfournez-le. 

Battez les oeufs en omelette, ajoutez la pincée de sel ainsi que le sucre et 1 sachet de sucre vanillé . Mélangez bien (au fouet ou au robot). Ajoutez l'extrait de vanille, mélangez et jetez la farine en pluie. Mélangez bien jusqu'à obtenir un liquide épais et onctueux. 

Sortez le beure fondu du four, ajoutez-le au liquide puis ajoutez le lait tout en remuant. Une fois mélangé, ajoutez les cerises à la préparation. 

 Avec un essuie-tout, étalez le beurre resté dans le plat pour le graisser, puis ajoutez la préparation. Ajoutez quelques noisettes de beurre par dessus.  Enfournez 45 mn (jusqu'à ce que le dessus commence à bien dorer). Dès la sortie du four, saupoudrez de sucre vanillé. 

Servez tiède.

Bon bé moi j'ai la dalle maintenant donc je m'en vais me mettre en cuisine.

Les occupations d’avril

En avril, on profite des derniers frimas pour se régaler d'un gratin de pommes sautées au comté.



Puis on prend les devants sur l'été en testant un ch'tiramisu (au spéculos et non au biscuit à la cuillère),



ainsi qu'un clafoutis aux cerises qu'on avait pris soin de congeler l'an dernier (les cerises, pas le clafoutis) !



Le tout histoire d'avoir plein de forces pour changer nos intérieurs et adopter de nouvelles armoires, plus raccords avec la déco (et plus grandes aussi parce qu'y en a marre à la fin !).





On remercie au passage les voyageurs en Thaïlande qui nous permettent de dormir sereins sous l'œil attentif de Bouddha.



Et la voilà, notre belle et grande armoire :



Et pendant ce temps, le chat nous aide...



Et voici la seconde qui contient plus qu'il n'en faut.



Et enfin, le bureau qui à terme deviendra une chambre "pour recevoir"  et qui, grâce à mes calculs savants, a hérité d'une petite penderie pour elle toute seule.


(Oui, parce qu'en fait, 2m50 d'armoire ça ne rentre pas dans une chambre dont le mur le plus long fait 2m43... Ne me demandez pas comment j'ai fait, je ne sais pas. Heureusement que les caissons sont indépendants !)



Cette pièce se repose encore mais bientôt son tour viendra ! Non mais !




Bon, puis, en avril, j'ai aussi fait de la couture mais j'y reviendrais plus tard.